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pape françois - Page 5

  • Antonio Guterres et pape François, même combat pour une gouvernance mondiale

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2021

    Si l’ONU et l’Eglise catholique, Une, Sainte et Apostolique n’ont quasiment rien en commun, à part l’universalité, une idéologique commune mondialiste unit l’organisation internationale et son Secrétaire général Antonio Guterres et l’Eglise conciliaire qui a à sa tête Jorge Maria Bergoglio.

    Si la première est un organisme supra-national qui se voudrait souverain sur les nations et les Etats, l’autre, secte qui a pris les commandes de l’Eglise officielle, fait office d’ONG humanitariste à vocation universelle. Leur dessein commun : bâtir une fraternité humaine sur les plans conçus dans les temples occultes, et instaurer une gouvernance mondiale pour la diriger.

    Ce projet d’un monde uniforme et globalisé, sans frontières, sans nations, ce village global où le « vivre ensemble » utopique en tout domaine, religieux, social, naturel, serait la règle forcée, a trouvé en les personnes d’Antonio Guterres et du pape François deux fidèles propagandistes.

    Dans un entretien accordé au Vatican Insider, journal officieux du Vatican, Guterres a déclaré « honorer le leadership vital du Saint-Père, notamment à travers Laudato Si, dans la lutte contre le changement climatique et les injustices qu’il entraîne ».

    Il a notamment insisté sur l’importance qu’il donne aux Nations Unies pour « rassembler les pays du monde pour lutter ensemble contre les principales menaces auxquelles nous sommes confrontés, de Covid-19 au changement climatique, en passant par le soutien financier aux pays en souffrance ». Seules les Nations Unies peuvent selon lui unir les nations, et pour tendre à cette mondialisation sous l’égide de l’ONU, il reconnait le rôle essentiel du pape argentin :

    « Avec le Pape François, je veux que les gouvernements et les peuples du monde travaillent en harmonie les uns avec les autres en tant que famille de nations », pour faire face aux défis que sont, selon Guterres, le covid-19, le changement climatique, le soutien financier aux pays en souffrance, et l’accueil des migrants partout en Europe via la mise en pratique du Pacte sur les migrations :

    « Il est essentiel, explique Guterres, et ses paroles ne peuvent que ravir l’hôte du Vatican, que tous les États, qu’ils soient pays d’accueil et de transit, ou pays d’origine, prennent des mesures pour garantir que les réfugiés et les migrants sont traités dans le respect de leur sécurité et de leur dignité. Ils sont nous; ils sont notre communauté, et chacun de nous pourrait devenir un réfugié ou un migrant si nos circonstances changeaient. Il est également clair que les migrants et les réfugiés ont été particulièrement touchés par l’impact du virus. Dans l’ensemble, les migrations doivent être considérées et gérées comme un solde positif net pour les économies et les sociétés, tant en termes de pays d’origine que de pays de destination ».

    Vatican bergoglien et ONU, même combat pour ériger « les nations Unies » comme rempart des « nationalismes » et comme « seule » solution pour « faire face aux problèmes auxquels nous sommes confrontés et les résoudre ». De Dieu, du Christ Roi des Nations et de sa souveraineté pacifique et bénéfique, il n’en est point question…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Pape François : pas de tolérance pour les fonctionnaires du Vatican non-vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 26 février 2021

    Au Vatican, pour les sceptiques ou réfractaires à la vaccination anti-covid, il n’y a pas de tolérance, ni d’empathie, ni de portes ouvertes, au contraire c’est devant des portes fermées que les fonctionnaires non-vaccinés risquent de se retrouver.

    Le Vatican bergoglien a choisi d’être rigide avec les employés qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le covid. La vaccination est volontaire, mais… car il y a un “mais” qui rend cette vaccination volontaire une obligation. Un décret du président de la Commission pontificale de l’État de la Cité du Vatican, le cardinal Giuseppe Bertello, prévoit que les employés qui ne peuvent recevoir le vaccin pour raisons de santé (vaccin que le Vatican a mis à disposition) peuvent être rétrogradés ou devront démissionner, avec le maintien du salaire. Et pour ceux qui se refusent de recevoir l’injection “sans raison de santé avérée”, il y a “des conséquences à des degrés divers qui peuvent aller jusqu’à la rupture de la relation de travail”.

    Le décret sur la sécurité sanitaire au Vatican, qui parle des vaccins et rappelle la règle (datant de 2011 et concernant les bilans de santé) sur “la responsabilité et les conséquences” pour les travailleurs qui ne peuvent ou ne veulent pas se faire vacciner, “doit être considéré comme un outil qui n’a en aucun cas un caractère sanctionnant ou punitif” mais il est “plutôt destiné à permettre une réponse souple et proportionnée à l’équilibre entre la protection de la santé de la communauté et la liberté de choix individuel sans mettre en place aucune forme de répression contre le travailleur”.

    Cela a été déclaré dans une note du gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican. Le décret sur les urgences sanitaires a été publié “pour donner une réponse réglementaire urgente au besoin primordial de sauvegarder et de garantir la santé et le bien-être des travailleurs, des citoyens et des habitants de l’Etat de la Cité du Vatican. La prémisse, explique le Saint-Siège, est donc celle de la protection individuelle du travailleur et de la protection collective du milieu de travail en cas d’événement qui pourrait être configuré comme une urgence de santé publique.”

    Pour le Vatican, “apporter une réponse sanitaire, prendre les mesures immédiatement nécessaires pour répondre à la pandémie, tout en ayant ses effets à long terme à l’esprit, est important pour la guérison globale et régénératrice”. Par conséquent, “se faire vacciner est considéré comme la prise d’une décision responsable , étant donné que le refus du vaccin peut également présenter un risque pour autrui et qu’un tel refus pourrait sérieusement augmenter les risques pour la santé publique”. Pour le Saint-Siège, “l’urgence sanitaire doit être abordée pour assurer la santé et le bien-être de la communauté des travailleurs, respecter la dignité, les droits et les libertés fondamentales de chacun de ses membres. Les mesures doivent être adoptées selon le principe de nécessité, compte tenu du risque réel pour la santé publique et suivant les critères de rapidité, d’adéquation et de proportionnalité”.

    La réglementation concerne “toutes les mesures appropriées visant à prévenir, maîtriser et contraster les situations exceptionnelles d’urgence de santé publique et tous les instruments pour une réponse adéquate et proportionnée au risque sanitaire sont largement indiqués. Parmi ces mesures, sur recommandation de l’autorité sanitaire de l’État, le recours à la vaccination peut être jugé nécessaire dans certains contextes : dans les activités professionnelles liées à la fonction publique, dans les relations avec des tiers ou à risque pour la sécurité de la communauté de travail”. 

    Selon le décret, “l’adhésion volontaire à un programme de vaccination doit donc prendre en compte le risque que tout refus de l’intéressé puisse constituer un danger pour lui-même, pour autrui et pour l’environnement de travail. Pour cette raison, la protection de la communauté peut prévoir, pour ceux qui refusent la vaccination en l’absence de raisons de santé, l’adoption de mesures qui d’une part minimisent le danger en question et d’autre part permettent de trouver des solutions alternatives pour que l’intéressé puisse exécuter son travail.”

    Dans cette Rome progressiste, où il est de bon ton de courtiser qui nie Dieu, qui conteste la divinité du Christ, où il est louable d’être bienveillant avec qui apostasie sa religion catholique, ou la morale divine naturelle, de filtrer avec les athées, les bouddhistes, les idolâtres divers et variés, d’écrire des documents confraternels avec des musulmans ou autres sectateurs, de prêcher les ponts et les portes ouvertes, tout y est quasi permis au nom de la “liberté chérie”, enfin presque… une chose n’est pas tolérée, mais vraiment pas du tout, s’abstenir de se faire vacciner contre le covid.

    On vit décidemment une époque renversante !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La franc-maçonnerie espagnole félicite “le pape François pour son implication dans la Fraternité humaine”

    Publié par Guy Jovelin le 11 février 2021

    Auteur : 

    Pour la deuxième fois en moins de cinq mois, la Gran Logia de España, la principale loge maçonnique d’Espagne, a exprimé sa profonde satisfaction pour l’implication du pape François dans l’initiative «Fraternité humaine» lancée à Abu Dhabi le 4 février 2019. Cette fois-ci, les francs-maçons espagnols ont publié un long message de bienvenue à la première Journée internationale de la fraternité humaine il y a quelques jours, à nouveau le 4 février, au cours de laquelle le pape François, avec le grand imam Ahmad al-Tayyeb, a accordé un prix pour la paix et la fraternité décerné au secrétaire général de l’ONU, António Guterres, lors d’une cérémonie en ligne.

    Le soutien maçonnique de la Grande Loge d’Espagne à l’actuel occupant du trône pontifical est d’autant plus significatif que son grand maître, Óscar de Alfonso, a été élu au poste de secrétaire exécutif de la Conférence mondiale des Grandes Loges régulières en novembre 2019, faisant de lui le maître maçon à la tête de la Coordination de la maçonnerie mondiale – quelque quatre millions de francs-maçons.

    A côté de «Fraternité», qui est l’un des mots-clés de la franc-maçonnerie, l’accès à la contraception et à l’avortement – ainsi qu’à d’autres aspects de la culture de la mort – est un objectif déclaré des francs-maçons. Gynécologue et ancien grand maître de la Grande Loge de France, Pierre Simon, a écrit sur la franc-maçonnerie et sa propre implication personnelle dans la légalisation de la contraception et de l’avortement en France dans les années 1960 et 1970 dans un livre autobiographique intitulé De la vie avant toute chose ( De la vie avant tout , 1979).

    Citant la déclaration publique de la Grande Loge d’Espagne, Il Messaggero a noté qu’il a souligné les difficultés qui existaient jusqu’à présent pour avoir un dialogue complet et significatif pour la construction d’un avenir commun. Il l’a fait avec grandiloquence:

    Est-il possible qu’au 21ème siècle nous puissions enfin aspirer à la pleine Fraternité humaine, à la tolérance mutuelle de nos profondes différences? Pourrons-nous, parmi nous tous, construire ce rêve? La Franc-Maçonnerie Universelle retient son souffle devant le pas de géant pris par l’humanité le 4 Février , quand, pour la première fois dans son histoire, le monde a célébré la Journée internationale de la fraternité humaine. Dans ces jours sombres, ce qui est arrivé le 4 Février est une lueur d’espoir, la première pierre de transformer le monde en un temple de l’amour fraternel qui peut nous accueillir tous.

    Plus tard dans la journée, le compte Twitter de la Grande Logia d’Espagne a publié un long message similaire à la déclaration ci-dessus, qui est maintenant accessible dans son intégralité ici, ainsi que de nombreuses citations des paroles de François sur la réunion virtuelle du 4 février avec al-Tayyeb, son cosignataire du Document d’Abu Dhabi.

    «Aujourd’hui, la fraternité est la nouvelle frontière de l’humanité», a déclaré François, et c’est la phrase avec laquelle les francs-maçons espagnols ont ouvert leur déclaration.

    Que l’actuel occupant du trône pontifical soit soutenu par la secte maçonnique, voilà un signe supplémentaire du travail de subversion qu’il mène quotidiennement à l’encontre de la doctrine catholique.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le pape François entérine une autre dérive conciliaire : le “ministère” des femmes

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021

    Par le Motu proprio Spiritus Domini, le pape François entérine « canoniquement » une dérive conciliaire : le “ministère” de femmes.

    Il a inscrit officiellement lundi dans le nouveau Code de droit canonique de 1983 certaines fonctions déjà occupées depuis longtemps par des femmes laïques lors de services religieux, bien que l’ordination des femmes ne soit toujours pas à l’ordre du jour.

    A l’automne 2019, lors du synode consacré à l’Amazonie, les évêques de la région avaient préconisé de reconnaître officiellement aux femmes certains « ministères » qu’elles exercent déjà depuis l’ouverture au monde décrété par le concile Vatican II.

    La modification du « droit canon » publiée lundi par le pape, reconnaît désormais aux femmes deux fonctions précises lors de célébrations liturgiques, qu’elles exercent souvent déjà avec l’aval des évêques. Il s’agit de ce que le monde conciliaire appelle le ministère de « la Parole », qui consiste à lire l’Evangile, et le ministère de « l’Acolytat », une assistance à l’autel.

    Le pape actuel n’a pas osé franchir cependant une autre étape de démantèlement de la discipline ecclésiastique : il n’a pas autorisé l’ordination des femmes comme leur accès au diaconat, idée soutenue par un grand nombre d’évêques d’Amazonie, mais aussi par de nombreux prélats progressistes, en Allemagne notamment.

    Il a donc rappelé lundi, dans une lettre d’accompagnement, les paroles du pape polonais Jean-Paul II selon lesquelles « en ce qui concerne les ministères ordonnés, l’Église n’a en aucune façon la faculté de conférer l’ordination sacerdotale à des femmes ». Mais il ne semble pas y être hostile puisqu’en avril dernier, il a néanmoins annoncé la création d’une nouvelle commission d’étude pour réfléchir à la possibilité d’ordonner des femmes diacres. Une précédente commission instituée en 2016 n’avait pas réussi à trancher la question après avoir examiné le rôle des femmes diacres au début du christianisme.

    « Pour les ministères non ordonnés, il est possible, et aujourd’hui cela semble opportun, de surmonter cette réserve », ajoute l’Argentin Jorge Bergoglio, qui pousse pour une plus grande place des laïcs et des femmes au sein des institutions de l’Eglise.

    Le droit canon de 1983, véritable prolongement du concile Vatican II, « traduction en langage juridique » de la nouvelle ecclésiologie conciliaire, avait déjà ouvert les portes aux ministères des « laïcs »  en spécifiant que ces deux mandats pouvaient être confiés à des « laïcs hommes ». Le pape François a tout simplement rayé cette référence aux hommes.

    Il n’y a là aucune révolution bergoglienne comme pourraient le croire tant les afficionados du pape sud-américain que l’aile conservatrice de l’Eglise officielle mais plutôt une continuité logique de la révolution conciliaire.

    Ce fut Paul VI, le pape du Concile, qui, dans la ligne des décrets conciliaires Gaudium et Spes et Lumen gentium, posa la première pierre de cette laïcisation du ministère sacerdotale : le 15 août 1972, il créait pour les hommes, par le Motu proprio Ministeria quaedam ces deux « ministères » laïcs, celui du lectorat et de l’acolytat. Le droit canon de Jean-Paul II les ratifiait en 1983, le pape François, en poursuivant dans cet axe de sécularisation de l’Eglise et de démantèlement des ordres mineurs, les ouvre aux femmes. Et la boucle est bouclée ! Enfin jusqu’à ce que « l’os à ronger » qu’ont obtenu les progressistes ne leur suffise plus et que la question hétérodoxe du sacerdoce des femmes ne hante à nouveau les couloirs du palais apostolique bergoglien, la Maison Sainte-Marthe.

    Toujours davantage, « la nouvelle Église conciliaire, est en rupture profonde avec la tradition et le magistère de l’Église » (Mgr Lefebvre, Lettre ouverte à Jean-Paul II de Mgr Lefebvre et de Mgr de Castro Mayer du 21 novembre 1983).

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Attentat de Nice : la responsabilité énorme du pape François

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2020

    Si certains, comme M. l’abbé Patrick de La Rocque, Prieur du prieuré Saint-Joseph de Nice de la F.S.S.P.X. ont le courage de pointer du doigt, dans l’attentat islamiste de Nice, la responsabilité de l’actuel Président de la République, Emmanuel Macron revendiquant avec une inconscience insouciante un « droit au blasphème » et ne reconnaissant aucun « un respect sacré », il en est un autre que l’on peut désigner pareillement comme un des responsables collatéraux de cette tuerie au couteau : le pape François.

    Le tueur mahométan n’est-il pas un de ces « chers migrants » dont le pontife argentin se fait le garant ? Un de ces « chers réfugiés » débarqués dans cette île de Lampedusa, envahie tragiquement d’allogènes, mais où Jorge Maria Bergoglio avait fait, dès son avènement en 2013, un de ses premiers shows, tenant à saluer ce que ces « chers » protégés portent en eux : « une histoire, une culture, des valeurs précieuses ». Une culture et des valeurs précieuses qui ont coûté la vie à trois personnes horriblement mutilées et tuées par le pauvre immigré Ibrahim Issaoui.

    Né en Tunisie le 29 mars 1999, il est arrivé en Italie en septembre. Après avoir atterri à Lampedusa le 20 septembre, avec un groupe d’autres migrants qui se trouvaient sur un bateau, il a été transféré dans le centre d’identification des Pouilles et photographié par la police. Après la photo-signalisation réalisée à Bari, il a été inséré dans les terminaux pour « entrée illégale sur le territoire national ». Un arrêté de refoulement du préfet de Bari avait été pris à l’encontre de Ibrahim Aoussaoui accompagné d’un ordre du préfet de police de quitter l’Italie dans les sept jours mais son transfert dans l’un des centres de rapatriement n’avait pas été ordonné. Et Ibrahim a donc disparu des radars… pour réapparaitre à Nice où il a atteint la notoriété « grâce » à son acte terroriste islamiste et anti-chrétien.

    « Si le débarquement à Lampedusa en septembre, le passage à Bari puis la fuite sont confirmés pour l’attaquant à Nice, nous demandons la démission du ministre de l’Intérieur [italien] Lamorgese », a clamé en colère le leader de la Ligue Matteo Salvini.

    Nous pourrions rajouter que « si le débarquement à Lampedusa en septembre, le passage à Bari puis la fuite sont confirmés pour l’attaquant à Nice », le pape François se doit de faire son mea-culpa et de cesser son discours à tout-va immigrophile et immigrationniste.

    Pour l’instant rien de tel n’arrive des couloirs de Sainte Marthe. Juste un communiqué et un tweet publiés le jour de l’attaque terroriste annonçant les prières du pape « pour les victimes, pour leurs familles et pour le bien-aimé peuple français, afin qu’il puisse réagir au mal par le bien ».

    Il ne semble pas que le jésuite argentin prenne conscience du problème funeste que constituent l’invasion migratoire venant du monde musulman et son corollaire, l’islamisation de la société du Vieux continent. Le pape a simplement condamné auprès d’Emmanuel Macron, dans un langage des plus « fluides », son « rejet absolu du terrorisme et de l’idéologie de la haine qui divise, tue et met en péril la paix » ainsi que sur l’importance du dialogue entre les religions. Aucune condamnation de l’assaillant et de sa religion, le tueur n’aurait été inspiré, à en croire le pape, que par une vague idéologie de la haine sans nom et sans visage.

    Avec les inconscients insouciants Macron et François, tout inspirés par leur idéologie multiculturelle et mondialiste, le peuple français et catholique a dû soucis à se faire car les terroristes islamistes ont encore de beaux jours devant eux !  

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info